Inauguration officielle du dispositif Halt-o-Stop

Lors de ce mercredi 25 juin 2025 à Villamblard, la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord a eu l’honneur d’inaugurer le dispositif Halt-o-Stop avec la présence de Monsieur Nicolas Dufaud secrétaire général de la préfecture de la Dordogne, sous-préfet de Périgueux , Madame Delphine Labails conseillère régionale d’Isle en Périgord, Madame Nancy Arpontet administrative de la MSA et de nombreux maires et élus du territoire de la Communauté de Communes.

Pour rappel le projet est né dans le cadre de la Convention Territoriale Globale de la Caf, qui nous a permis d’aborder la mobilité comme un enjeu transversal et structurant. Il s’inscrit également dans le Plan Climat Air Énergie Territorial (PCAET) de la Communauté de communes, en tant qu’action concrète pour encourager des mobilités durables, solidaires et bas-carbone sur notre territoire. Dans un contexte rural où la mobilité est un enjeu quotidien pour de nombreux habitants, la Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord, bien que ne disposant pas de la compétence d’autorité organisatrice de la mobilité (AOM), a engagé une démarche engagée en sollicitant une délégation de compétence auprès de la Région Nouvelle-Aquitaine. Cette autorisation nous a permis de lancer le dispositif HALT ô STOP.

Concernant sa mise en œuvre à l’échelle de la CCICP :

● 13 communes sont concernées :Beauregard et Bassac, Bourgnac, Campsegret, Douville, Eyraud-Crempse-Maurens, Issac, Saint-Front-de-Pradoux, Saint-Laurent-des-Hommes, Saint-Médard-de-Mussidan, Saint-Michel-de-Double, Saint-Louis-en-l’Isle, Villamblard.

● 22 panneaux installés à des emplacements stratégiques et sécurisés.

● Ont été associés :

Les Enfants du Pays de Beleyme

Les services départementaux de l’aménagement des routes

La Direction Interdépartementale des Routes Centre-Ouest

Inauguration du dispositif Halt-o-Stop

La communauté de communes Isle et Crempse en Périgord a le plaisir de vous convier à l’inauguration du dispositif Halt ô Stop, favorisant le covoiturage spontané sur notre territoire.

Rendez-vous le 25 juin au panneau Halt ô Stop à côté de la pharmacie de Villamblard, à partir de 18h.

Au programme : animation, distribution de goodies et pot convivial offert.

Venez nombreux découvrir et tester ce nouveau service de mobilité solidaire !

Inauguration Halt o Stop

Pourquoi adopter la tonte raisonnée ?

En quoi consiste la tonte raisonnée ?


La tonte raisonnée consiste à adapter la fréquence, la hauteur et les zones de tonte de la pelouse afin de préserver l’équilibre naturel. Contrairement à la tonte classique qui rase tout de manière régulière, cette pratique vise à laisser certaines zones pousser librement, voire à réduire le nombre de tontes dans l’année.

Pourquoi adopter la tonte raisonnée ?

🐝 Préserver la biodiversité

En laissant pousser certaines zones, on offre un refuge et une source de nourriture aux insectes pollinisateurs (abeilles, papillons…), aux petits animaux (hérissons, oiseaux) et à la microfaune du sol.

🌸 Favoriser la flore locale

Une tonte moins fréquente permet à des fleurs sauvages et des herbes locales de se développer, enrichissant la diversité végétale du jardin.

💧 Lutter contre la sécheresse

Une herbe plus haute conserve mieux l’humidité du sol, limite l’évaporation de l’eau et protège le sol du soleil. Cela réduit aussi la consommation d’eau.

🚜 Réduire l’empreinte carbone

Moins de tonte, c’est moins de carburant utilisé, moins de bruit, et moins d’émissions de CO₂.

La communauté de communes et de nombreuses communes de son territoire expérimentent la mise en place de la tonte raisonnée dans certains secteurs. Certaines communes la pratiquent depuis plusieurs années.

Des communes ont pu suivre une intervention de Monsieur Pereira technicien au pôle paysage et espaces verts du conseil départemental de la Dordogne, où différents sujets furent abordés comme la gestion des cimetières et la tonte raisonnée .

Affiche tonte différenciée CCICP

Vous pouvez d’ailleurs, vous aussi, chez vous, pratiquer cette tonte différenciée. Vous pouvez ainsi laisser l’herbe haute à côté des arbres fruitiers, par exemple, pour aider la pollinisation, et ne tondre qu’au moment de la récolte. Il faut aussi veiller à ne pas tondre autour des plantes importantes, des plantes mellifères.

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L’A.S.E. RECHERCHE DES BÉNÉVOLES

L’Association de Sauvegarde de l’Environnement (ASE), spécialisée dans la lutte des frelons asiatiques, recherche activement des bénévoles.

Elle est basée à Vélines et intervient chez les professionnels et particuliers.

Les interventions ont lieu près de chez vous et sont sectorisés avec formation assurée, matériel fourni, assurance délivrée, frais de route remboursés et aucun horaire n’est imposé.

Les destructions de nids de frelons asiatiques se déroulent sur 6 mois environ.

Si vous êtes intéressés contactez l’ASE au 06 02 26 69 90

Le retour des frelons asiatiques et des chenilles processionnaires

Le frelon asiatique est présent en Dordogne depuis 2006. Il se différencie de son cousin européen par sa couleur plus foncée, mais aussi des pattes jaunes. Il est plus petit que le frelon européen.

Le frelon asiatique

Frelon asiatique

Le frelon européen

Frelon européen

Des interventions précoces sur les jeunes nids, permettent de réduire les dégâts occasionnées par les nombreuses ouvrières d’une colonie lors de la période estivale.

Dans tous les cas, il ne faut pas intervenir soi-même.

Que faire si vous repérez un nid ?

Contactez-nous à l’adresse suivante : communaute-de-communes@mussidan.fr en décrivant où se situe le nid à quelle hauteur ainsi que vos coordonnées (nom, adresse, téléphone) puis l’association ASE de Vélines à laquelle nous adhérons interviendra pour un coût de 30 euros pour les nids de frelons asiatiques se trouvant à moins de 8 mètres de haut et pour ceux à plus de 8 mètres de haut le coût sera de 55 euros. ASE intervient gratuitement sur les bâtiments et les lieux communaux. Depuis 2020 cette association est intervenue sur 184 nids dans notre Communauté de communes.

Comment piéger les frelons asiatiques ?

Pour piéger les frelons asiatiques l’association ASE conseille le piège suivant :

Dans une bouteille, mettre 25cl de bière (pour éloigner les abeilles qu’il ne faut pas piéger), 3 cuillères à soupe de sucre en poudre et 3 cuillères de sirop de grenadine. Les poses de ces bouteilles s’effectuent du 15 février au 1er mai puis du 15 septembre jusqu’à fin novembre.

Les chenilles processionnaires

La chenille processionnaire est une espèce classée nuisible, elle peut provoquer des réactions allergiques qui peuvent avoir des graves conséquences sur l’homme et les animaux domestiques comme le chien.

Elle a aussi une conséquence sur les arbres comme les pins et les cèdres, car elle se nourrit des épines ce qui ralentit leur croissance et limite le pouvoir photosynthétique. L’arbre devient aussi plus vulnérable aux attaques d’autres insectes xylophages.

À ne pas faire avec les chenilles et les nids :

-Lors du mois d’avril les chenilles quittent les arbres pour aller s’enfouir sous terre. Il ne faut pas s’en approcher ni les toucher.

-Il ne faut pas utiliser d’insecticide qui pollue durablement le milieu. De plus lors de leur mort elles libèrent des myriades de soies urticantes invisibles pour l’homme

Il ne faut pas les brûler, car les soies sont mises en suspension ce qui peut causer une inflammation du système respiratoire.

Lutter contre la chenille processionnaire :

– Installer en amont des nichoirs à mésanges et des gîtes à chauves-souris qui sont les deux principaux prédateurs.

– Des pièges à collier à installer autour du tronc du pin ce qui empêche les chenilles d’accéder au sol.

La compétence GEMAPI : Un enjeu majeur pour la gestion de l’eau et des risques naturels

La GEMAPI (Gestion des Milieux Aquatiques et Prévention des Inondations) est un bloc de compétences confié aux EPCI de manière obligatoire à compter du 1er janvier 2018 par les lois de décentralisation de 2014 (loi MAPTAM), puis 2015 (loi NOTRe).

La communauté de communes Isle et Crempse en Périgord a décidé de déléguer cette compétence au Syndicat mixte du bassin de l’Isle (SMBI) et à la Communauté d’agglomération Bergeracoise (CAB).

Qu’est-ce que la GEMAPI ?

La compétence GEMAPI s’articule autour de quatre missions définies par le code de l’environnement :

– l’aménagement d’un bassin ou d’une fraction de bassin hydrographique,

– l’entretien et l’aménagement d’un cours d’eau, canal, lac ou plan d’eau, y compris les accès,

– la défense contre les inondations et contre la mer,

– la protection et la restauration des sites, des écosystèmes aquatiques et des zones humides ainsi que des formations boisées riveraines.

Les enjeux environnementaux et climatiques

Les enjeux associés à la GEMAPI sont d’autant plus importants aujourd’hui avec les effets du changement climatique, qui accentuent les risques d’inondation, de sécheresse et d’érosion. La montée du niveau de la mer, la multiplication des épisodes de fortes pluies et la gestion de l’eau en période de sécheresse posent de nouveaux défis aux acteurs locaux.

Ainsi, la GEMAPI constitue un levier pour la résilience des territoires face à ces risques. Elle permet de renforcer l’adaptation des collectivités aux phénomènes climatiques extrêmes, d’assurer la sécurité des populations et de protéger les écosystèmes aquatiques fragiles.

La compétence GEMAPI représente un enjeu stratégique pour les territoires, en matière de gestion des ressources en eau, de préservation de l’environnement et de protection contre les risques d’inondation. Son succès repose sur une approche intégrée, coordonnée et partenariale, qui prend en compte les particularités locales et les enjeux environnementaux globaux. À l’heure des défis liés au changement climatique, la GEMAPI est une compétence clé pour assurer la résilience et la durabilité des territoires.

Campagne de recrutement pour le parlement de l’Isle

Après une première année d’échange, de réflexion et de rencontres autour du projet « Vers un parlement de l’Isle », les syndicats de la rivière/bassins versants, le SMBI et le SIETAVI, ainsi que le Collectif Trois Tiers lancent la première promotion du Parlement de l’Isle en 2025. 

Pour cela, ils sont à la recherche de 30 citoyennes/citoyens prêts à s’engager pour un mandat de 6 mois afin de constituer cette première promotion.

Vous êtes un.e passionné.e de la rivière ? Vous vous sentez concernés.es par la gestion, la préservation de la rivière et de son bassin versant ?

Vous avez envie d’en savoir plus sur son fonctionnement et de contribuer à réfléchir à son avenir ?

 Candidatez, avant le 8 février minuit, en envoyant une lettre expliquant votre intérêt pour le projet et vos motivations à y prendre part :

– par mail : syndicat@bassin-isle.fr

– par courrier : 196 route des Grands Champs
24400 ST LAURENT DES HOMMES

Toutes les informations autour de ce projet et conditions pour candidater sont expliquées dans le flyer/visuel joint. 

Campagne de recrutement Parlement de l'Isle
Campagne de recrutement Parlement de l'Isle

Et pour tout besoin d’informations complémentaires, vous pouvez contacter le Collectif Trois Tiers au 06 31 07 22 93.

Consultation sur les enjeux de l’eau du grand Sud-Ouest

Le comité de bassin Adour Garonne est chargé de gérer l’eau dans le grand Sud Ouest.

Tous les 6 ans il élabore un schéma directeur d’aménagement et de gestion des eaux (SDAGE), le prochain sera publié en décembre 2025, c’est pourquoi cette consultation est lancée jusqu’au 25 mai 2025.

On a trop longtemps cru que la ressource en eau était intarissable. Le risque d’en manquer n’est pourtant pas une fatalité : des solutions existent pour l’optimiser, la renouveler, la préserver. Au risque de paraître angoissante, la question se pose légitimement : allons-nous un jour manquer d’eau ?

Avoir accès à l’eau, ce n’est pas seulement pouvoir se désaltérer et bénéficier de bonnes conditions d’hygiène, c’est aussi pouvoir cultiver la terre, produire de l’énergie, faire tourner les usines… Entre croissance démographique et développement économique, l’ONU anticipe dans un rapport de 2019
 une hausse de la demande mondiale de 20 à 30% d’ici à 2050.

L’élévation des températures augmente, entre autres, l’évapotranspiration des plantes, qui ne retiennent plus assez l’eau qui retourne donc dans l’atmosphère au détriment des cours d’eau, des sols et des nappes. Quand on sait l’incidence que les périodes de sécheresses et d’inondations ont sur les productions agricoles et énergétiques, le tableau n’est pas très réjouissant… 
Cet enjeu de la raréfaction de l’eau dans les rivières, les lacs, les zones humides, les nappes d’eaux souterraines, etc., doit nous faire prendre conscience de la nécessaire sobriété des usages. Nous devons absolument optimiser l’utilisation de la ressource. Chacun est désormais conscient de l’urgence d’adapter nos territoires aux effets du changement climatique.

De nombreuses communes françaises ont été privées d’eau potable durant les derniers étés.

Consultation changement CLIMATIQUE

Donnez votre avis et contribuez à l’élaboration du prochain Plan national d’adaptation au changement climatique (PNACC) dans le cadre de la consultation publique ouverte jusqu’au 27 décembre 2024

Il s’agit de recueillir l’avis du public sur les grandes orientations de la politique nationale d’adaptation au changement climatique

Les 5 axes du PNACC soumis au débat dans le cadre de cette consultation

  1. Protéger la population des effets du changement climatique
  2. Assurer la résilience des territoires, des infrastructures et des services essentiels
  3. Adapter les activités humaines : assurer la souveraineté alimentaire, économique et énergétique de notre pays à +4°C
  4. Protéger notre patrimoine naturel et culturel
  5. Mobiliser les forces vives de la Nation pour réussir l’adaptation au changement climatique